Contrairement aux idées reçues dans les médias, nous ne constatons aucune baisse de nos demandes ou de réduction du prix de nos propriétés dans les Alpes.
La presse populaire prédit une baisse des prix. Nous ne listerons pas les articles sur ce sujet. Ils correspondent certainement à l’idée générale ou à des hypothèses. Et si vous êtes sur le marché à la recherche d’une propriété, cela vous donne bon espoir ! Cependant, ce n’est pas notre expérience sur le terrain.
Si vous n’avez pas le temps de continuer la lecture, je vais vous résumer nos conclusions ici. Ces données sont basées sur notre expérience de plus de 20 ans dans l’immobilier. L’activité sur notre site internet a augmenté, et jusqu’ici pour le mois de mai, nous avons presque atteint un record au niveau du nombre de demandes. Je dis « presque » puisqu’à l’heure à laquelle j’écris cet article, le mois n’est pas encore terminé. Les résultats sont là, les demandes du mois de mai 2020 pourraient battre des records. Et, depuis le début du confinement, nous avons même conclu 16 ventes. Au départ, nos prédictions pendant ce confinement auraient été de zéro vente ! Le ratio entre les prix conclus et les prix demandés au départ est minime 3,7%. Basé sur notre expérience, ce ratio est tout à fait normal. A moins que la propriété soit nouvelle sur le marché ou qu’elle suscite beaucoup d’intérêt, les clients font souvent une offre inférieure au prix demandé.
Je vais détailler ici nos 16 ventes conclues pendant le confinement :
Prix moyen du bien 422,750€
3.7% réduction par rapport au prix demandé
Gamme de prix de 62.000€ à 1.595m€
8 acheteurs anglophones (basés en Angleterre ou ailleurs)
7 acheteurs francophones (principalement basés en France)
1 acheteur finlandais
Il y a deux éléments distinctifs de ces acheteurs :
80% d’entre eux sont de nouveaux clients de cette année. Normalement, le taux aurait dû être autour de 50%, car beaucoup de nos clients passent un certain temps à rechercher des propriétés avant d’acheter.
La plupart d’entre eux n’ont pas besoin d’un prêt, et par conséquent, n’ont pas besoin d’un revenu locatif pour les aider dans leur achat, en fait, pour moins de la moitié de ces acheteurs, le rendement locatif n’est pas un élément important.
En ce moment, nous expérimentons deux types d’acheteurs
Les acheteurs au milieu du processus d’achat. Une démarche potentiellement commencée l’année dernière, un projet sur du long terme, ils ont déjà signé le premier contrat (compromis de vente) et, à ce stade, ils devraient normalement être en train de finaliser la vente. Le COVID a déstabilisé ces ventes. Le monde qu’ils connaissaient lorsqu’ils ont pris la décision d’acheter a changé, et l’avenir est devenu incertain. Beaucoup d’entre eux s’interrogent, et sont parfois contraint par des soucis financiers. Inévitablement certaines de nos ventes conclues avant le COVID vont tomber à l’eau et les propriétés seront de retour sur le marché.
Nouveaux acheteurs, des acheteurs qui ont depuis longtemps rêvé d’avoir une maison dans les Alpes et qui ont finalement sauté le pas pendant la crise. Ces ventes devraient être plus sûres. Tant que ces acheteurs continueront dans cette lancée, la situation mondiale peut seulement s’améliorer (et cela semble être sur la bonne voie)
Donc, quelles est la principale motivation de ces nouveaux acheteurs ? Certain ont suggéré qu’ils pourraient rechercher un point de chute dans l’idée d’un nouveau confinement. Nous ne pensons pas que ce soit le cas, puisque voyager vers une résidence secondaire pendant le confinement était interdit. La plupart (mais pas tous !) sont restés dans leur résidence principale. Nous avons le sentiment que ces « nouveaux » clients réévaluent leurs cadres de vie et leurs priorités. Ils y voient l’opportunité de suivre leur rêve. Quand vous pensez à votre propre situation, vous devez être capable de revaloriser vos projets et de vous recentrer sur vos buts et vos objectifs !
Si vous êtes intéressés vous pouvez consulter la liste des biens récemment vendus sur notre page « VENDU ». Cependant, rien de bien nouveau. Contactez-nous si vous souhaitez plus de détails sur la répartition de nos ventes.
Il y a 3 ans, j’ai écrit un article sur une voiture électrique à la neige. J’ai toujours une voiture électrique, elle ressemble à la précédente, cependant elle va plus loin et se recharge plus vite. Je veux utiliser la forme la plus écologique de transport possible, donc, la suite logique est d’installer des panneaux solaires photovoltaïques (PV). Si vous ne pensez pas que les VE (véhicules électriques) et les PV sont aussi écologiques que certaines personnes soutiennent, alors jeter un œil à mon avis sur ce sujet.
J’ai entrepris des recherches et des calculs afin de savoir si les panneaux solaires photovoltaïques (PV) valaient le coup.
Bien que j’aime essayer d’être aussi vert que possible, je suis surtout très intéressé si être écologique me permet également de réaliser des économies. Si vous comparez aujourd’hui le retour sur investissement de l’argent que vous placez à la banque, qu’importe l’investissement, il vaut le coup d’être tenté !
Premièrement, je peux vous confirmer que les PV ne produisent pas d’électricité lorsqu’ils sont recouverts de neige. Ce n’est pas un gros problème, et ce, pour un grand nombre de raisons. Et notamment, puisque quoi qu’il en soit, en plein hiver, les PV ne produisent que peu d’électricité. Si vous regardez le tableau ci-dessous, vous constaterez qu’en décembre ils produisent seulement 20% de l’énergie produite au mois de juin. Deuxièmement, bien que je vive à 840m d’altitude dans les Alpes, je ne pense pas qu’ils seraient recouverts par la neige si souvent. Quand bien même la neige tombe, elle disparaît le jour même dès l’apparition du soleil.
Les calculs
Tout d’abord, je voulais savoir combien d’énergie ma VE avait besoin sur une année. Je conduis 12,000 km/an. C’est 33 km/jour, la voiture à une efficacité réelle de 12kw/100km, ce qui signifie que j’ai besoin de 4kw d’énergie pour une journée normale de conduite. Ce chiffre représentatif et réaliste est visible sur le tableau de bord de ma voiture, c’est comme votre CI (combustion interne), la consommation de carburant de votre véhicule. Cela inclus les côtes, votre type de conduite, et un problème propre aux VE, les basses températures.
Ensuite, vous devez calculer combien d’énergie vous pouvez produire en fonction du lieu où vous vivez. C’est assez simple à faire. Merci à l’Union Européenne qui a créé une base de données en ligne qui recense toutes les informations nécessaires pour ce calcul, sous forme de calculateur qui prend en compte toutes les données. La météo locale, les jours d’enneigement, ainsi que l’ombre éventuelle produite par les montagnes environnantes. Vous devrez savoir dans quelle direction seront orientés vos panneaux, utiliser une boussole (ou votre téléphone). Ceci dépend de l’emplacement où vous souhaitez les installer, dans mon cas, c’est sur le toit du garage. Ainsi que l’angle sur lequel ils seront installés (l’inclinaison), pour ce faire utiliser un rapporteur (ou votre téléphone). Enfin, vous devrez savoir combien de panneaux votre toit (surface) peut accueillir. Pour cela, vous pouvez utiliser l’aide de cet excellent calculateur easy-pv.co.uk/, dans mon cas il s’agissait de 11 panneaux.
Les panneaux produisent en moyenne entre 250-300 W chacun, les meilleurs panneaux solaires sur le marché (pas spécialement les plus jolis) produisent 270 W, soit 270 x 11=2.97 kw
Soit les chiffres suivants :
Puissance du système 2.97 kw
Type de PV Crystalline Silicon
Inclinaison 30°
Orientation 230°, qui semble se transformer à 50° sur ce site
Ci-dessous, les résultats obtenus, il y a plus de photos sur le nouveau site !
Sur ce tableau, vous pouvez voir que le rendement moyen journalier produit est de 7.76 kWh, précédemment, j’ai mentionné que ma voiture avait besoin de 4kWh, si j’utilisais tout l’espace disponible, je pourrais presque charger deux voitures (ou conduire deux fois plus vite).
Autorisation
Vous avez besoin d’une autorisation d’accès au réseau, et pour la France il s’agit d’Enedis. J’ai décidé que je voulais garder l’opération le plus simple et pour le meilleur rapport qualité/prix possible. Je pense que le mieux à faire est d’installer vous-même les panneaux et de ne pas revendre l’excédent d’énergie au réseau. En d’autres mots, configurez vous-même le système et vous pouvez utiliser toute l’électricité produite. Pour vendre l’excèdent d’électricité au réseau, vous devez utiliser un professionnel certifié pour l’installation des panneaux, dans quel cas les coûts sont doubles et l’opération perd tout son intérêt.
Le site explicatif d’Enedis https://www.enedis.fr/produire-de-lelectricite#etape-prealable, vous verrez qu’en haut de la page, il est indiqué que vous devez demander une autorisation à la mairie locale, ceci n’est pas un permis de construire mais une déclaration préalable de travaux (DP), bien plus simple qu’une demande de permis de construire. Vous pouvez récupérer les formulaires directement à la mairie. Si vous êtes allez si loin dans le processus, vous verrez qu’ils ne sont pas compliqués à remplir. Redéposez-les en mairie et attendez la décision du conseil. L’attente dépendra de la date de la prochaine réunion. Pour ma part, ça a été un mois. Une fois que vous avez l’autorisation, vous devez retourner sur le site internet d’Enedis, créer un compte, télécharger votre formulaire et un certificat de conformité pour votre équipement (disponible auprès de votre fournisseur). Enedis créera un contrat (Convention d’auto-consommation sans injection) à signer électroniquement. Pour ça, j’ai attendu une semaine.
Installation des PV
Enfin, il était temps de se lancer ! J’ai commencé l’opération en juin, et c’est en octobre que j’ai atteint ce stade. Ça aurait eu bien plus de sens de commencer le processus en janvier, cependant la vie ne marche pas toujours comme on veut ! J’ai choisi le garage non pas par sa proximité avec la voiture, mais parce que c’était plus accessible pour un amateur comme moi. C’est plus près du sol pour commencer ! La première mission a été de couper l’arbre qui faisait de l’ombre, bien en évidence sur la photo ! Les PV n’aiment vraiment pas l’ombre.
Ensuite j’ai commandé l’équipement. Le contenu total tenait sur une palette.
Un ami m’a prêté un échafaudage. J’ai pensé naïvement que j’avais simplement besoin d’une échelle, c’était une très mauvaise idée. Vous aurez besoin d’un échafaudage, et pour la plupart du temps de l’installation d’une deuxième paire de mains !
L’installation des rails et des panneaux a pris deux après-midis à deux personnes. Sur cette photo vous pouvez voir l’un des onduleurs. Avec ce système, il y a un onduleur pour deux panneaux. Ces petits appareils convertissent environ 20 V CC d’énergie, les panneaux eux produisent 230 V CA ce qui représente la consommation de la maison (et voiture). Par ailleurs, c’est un peu dommage, car la voiture reconvertie ensuite l’électricité en CC pour charger sa batterie. … mais c’est comme ça. Le câblage sur le toit est prêt à l’emploi, tout est étanche et pas besoin de tournevis.
Travailler sur le toit durant un automne ensoleillé est un vrai plaisir.
Le câblage
Pas grand-chose à faire ici. Dans ce cas, nous avons juste eu à les brancher dans une prise ! Sur la photo, il y a un interrupteur principal, bien que dans ce cas, vous pouvez isoler les panneaux en débranchant la prise. On nous a fourni un compteur, ce n’est pas indispensable, mais c’est assez intéressant de savoir combien d’énergie les panneaux produisent. J’ai vérifié les chiffres avec les calculs et ils correspondent a peu de chose près. Il y a de quoi vous amuser ! Je pourrais contrôler l’électricité produite et la comparer avec l’électricité consumée en temps réel depuis mon bureau. Toutefois, ce serait que des coûts supplémentaires.
Une chose importante, lorsque les panneaux sont débranchés du réseau principal, les onduleurs s’éteignent. Vous ne pouvez donc pas vous électrocuter. Si ce n’était pas le cas, et que le courant de votre maison sauterait, les panneaux continueraient de produire de l’électricité et vous, votre électricien, ou même un technicien du réseau pourrait être en danger.
Le travail terminé avec la voiture électrique. La voiture n’est pas branchée directement aux panneaux. La voiture est branchée sur le système électrique domestique. Les panneaux sont raccordés sur ce même système. La voiture pourrait utiliser l’énergie produite, tout comme mon frigo, mon ordinateur, les lumières ou peu importe, et comme je travaille depuis chez moi il y a toujours de l’énergie consommée pendant la journée.
De plus amples précisions pour vos panneaux solaires
J’ai utilisé des panneaux polycristalline. Les panneaux ont une couleur bleu électrique. Ils sont plutôt jolis sur le toit en taule de mon garage, et ils ne sont pas sujet au vis-à-vis. Cependant, si je devais réitérer l’opération sur le toit de ma maison, j’utiliserais des panneaux noir mat. Il est fort probable que dans quelques années les panneaux utilisés soient du « film fin », et ce, spécialement pour recouvrir une grande surface. Ma maison a un système de courant triphasé (3 phases). Cela rend le traitement de toute l’énergie produite par les panneaux plus difficile à gérer. Plusieurs améliorations pourraient être faites, et pas spécialement compliqué. Mais cela vaut le coup de les anticiper.
Pendant les premières semaines de cette crise, la demande s’est vraiment arrêtée. Après un mois de confinement, la situation à changé. Les demandes sont en baisse, mais seulement d’environ 30% ; l’activité sur notre site Web a chuté de 40% pendant quelques semaines, mais elle correspond maintenant à la même période l’an dernier.
Attendons-nous une baisse des prix ?
Nous avons vécu quelque chose de similaire en 2008, similaire mais plus petit. Beaucoup de gens attendront de voir si les prix baissent. Si vous cherchez une bonne affaire, vous devez agir maintenant. Pendant cette interruption. Et les gens font exactement cela, nous avons convenu de 4 ventes au cours de la semaine dernière. Et deux d’entre elles étaient au prix affiché. On sent qu’il y a beaucoup de demandes. Si vous attendez que tout soit à nouveau stable, vous devrez peut-être attendre longtemps.
Attendons-nous une hausse des prix ?
Il est possible (mais discutable) que les prix augmenteront à moyen ou long terme. Les différents gouvernements peuvent imprimer de l’argent pour tenter de résoudre le problème. Dans le passé, cela a conduit à l’inflation et les prix de l’immobilier augmentent lorsque cela se produit. S’il y a un déséquilibre entre la façon dont les pays réagissent, vous verrez des changements dans le taux de change. Si le Royaume-Uni imprime plus d’argent que l’UE, la valeur de la livre sterling pourrait chuter. Tout cela doit également être mis en balance avec les performances de l’économie.
Que fait Alpine-Property pendant la pandémie ?
Jusqu’au 11 mai, nous sommes en « confinement ». Cela signifie que nous sommes tous encouragés à travailler à domicile, sauf pour les activités essentielles qui ne peuvent pas être effectuées à distance. Donc, pour Alpine-Property, il n’y a pas de changement. Tous nos agents sont disponibles comme d’habitude et travaillent depuis leur domicile. Nous sommes à votre disposition pour répondre à vos questions et discuter de vos projets.
Comment pouvez-vous visualiser un bien à vendre ?
Dans l’ensemble, nous ne pouvons rencontrer personne sur place dans un bien à vendre. Et, même si nous le pouvions, il est très peu probable que quiconque puisse se rendre légalement dans la région à cette fin. Cependant, nous avons des visites virtuelles pour la majorité de nos propriétés. Et en supposant qu’une propriété est vide, nous pouvons faire une visite virtuelle s’il en manque une. Évidemment, vous pouvez voir ces visites sur notre site Web à votre rythme. Cependant, nous encourageons les rendez-vous avec nos agents afin qu’ils puissent vous accompagner sur une visite virtuelle, expliquant la propriété au fur et à mesure. Nos agents le font tous les jours.
Pouvez-vous démarrer le processus d’achat ?
Vous pouvez, et certaines personnes l’ont fait. La plupart de nos clients utilisent ce temps pour faire leurs recherches, découvrir ce qui est disponible. Décidez quel station de ski convient à leurs besoins. Si vous souhaitez emprunter contre cet achat, parlez aux banques et découvrez ce qu’elles peuvent offrir. Discutez des domaines avec nos agents. Nous avons 16 agents répartis en Haute Savoie. Chacun aimerait vous expliquer pourquoi sa région est la meilleure !
Le Covid19 empêchera-t-il la conclusion d’une vente en cours?
Peu probable. Bien que cela puisse le retarder. Au cours des premières semaines, nous avons dû faire face à divers embouteillages chez les notaires, les banques, et avec des problèmes plus banals comme l’organisation de rapports énergétiques ! Tous les délais ont également été prolongés. Les contrats ne s’effondreront pas immédiatement car un délai a été dépassé. Cela signifie donc qu’une vente est plus susceptible d’être retardée qu’arrêtée.
Valmorel est un petit joyau au beau milieu de la vallée de la Tarentaise, dans le département de la Savoie crée en 1976. Il siège à une altitude de 1,400m et le ski se pratique à partir de 1,270m et jusqu’à 2,550m, offrant des vues spectaculaires sur les massifs environnants, et notamment sur le Mont Blanc et sa vallée.
Le centre du village est piéton, lui procurant un charme authentique. En 2018 TripAdvisor a récompensé la station du certificat d’excellence.
Valmorel est relié à Saint-François-Longchamp par le Col de la Madeleine, un challenge de renom pour les cyclistes, et à la station de Doucy-Combelouvière, qui fait partie du « Grand Domaine » avec ses 165km de ski alpin (31 remontées mécaniques), 40km de ski de fond et 15km de circuits raquettes.
Mais il y a bien plus que le ski et le snowboard à découvrir !Par exempe, le snake-gliss, une série de luges attachées ensemble formant une luge géante pour dévaler la montagne avec vos proches, le tout encadré par un moniteur de ski ; fat bikes, c’est-à-dire, vélos avec des roues très épaisses permettant une accroche sur la neige ; biathlon, pourquoi pas essayer ce sport exaltant, et apprécier la difficulté de skier, puis tout en récupérant son souffle se concentrer, viser et tirer sur une cible ; des motoneiges 100% électriques pour les 7-12 ans ; l’airboard, ici, c’est allongé sur une luge gonflable que vous dévalerez la montagne ! Une multitude d’activités pour s’amuser et en profiter !
Il y a une liste impressionnante d’évènements à venir pendant la saison d’hiver, incluant :
La Grande Odyssée (16ème édition) qui est LE plus grand événement de chiens de traineaux d’Europe. Et cette année ce sera une grande première pour Valmorel. Les mushers font une course et des démonstrations de leur discipline.
La 5ème édition de la Spartan Race d’hiver, avec ses 10 km de course, 25 obstacles à affronter – pour chaque obstacle raté = 30 burpees !!
La 3ème édition de la Valmo-belle, une course de ski de randonnée nocturne avec 490m et 560 m de dénivelé, et en guise de récompense un buffet de bienvenue dans un restaurant d’altitude !
6ème Challenge National Parapente Vol et Ski des Sapeurs-Pompiers. Ce challenge hiver parapente vol et ski est composé de multiples épreuves ludiques de précisions de pilotage en l’air et au contact de la neige. Les fonds récoltés sont reversés à l’association des enfants Orphelins des Sapeurs-Pompiers (ODP)
E-Wax Festival, festival de musique électro, avec de multiples scènes et différents styles de musiques, à la fin de la saison Valmorel se transforme en dancefloor géant et ce, même à 2000 m d’altitude !
Il y a également une multitude d’activités estivales à découvrir. Avec 185 km de vélo de descente, une piscine extérieure de 25m, du tir à l’arc, un parc de loisir, mais aussi d’autres sports tel un pump track : parcours à bosses pour VTT, via ferrata, canyoning, rafting, airboating (hydroglisseur), parapente et parcours d’accrobranche pour en citer quelques-uns.
Vamorel est à 15 minutes en voiture de Moutiers, 2 heures des aéroports de Genève et Lyon, et 4h15 de Paris via le TGV.
Nous avons une variété Importante de biens et de programmes neufs en dehors de la Haute Savoie. Afin de retrouver nos biens à vendre à Valmorel, cliquez sur ce lien.
Quand vous travaillez pour une agence immobilière, toute nouvelle connaissance vous demande « comment va le marché ? » assez rapidement dans la conversation. Question de politesse, je suppose ! Mais au-delà des civilités, cela intéresse réellement notre clientèle. Par conséquent, dresser un état du marché fait partie de nos tâches récurrentes.
J’ai couché mes idées par écrit sur le sujet à plusieurs reprises. Ce blogue contient des articles sur le marché datant de 2017, 2014, 2013, 2011, 2010 et 2009 (deux fois !). Je remarque que mes mois favoris pour produire ce rapport sont juin et juillet. Rien d’étonnant à cela, quand on consulte les statistiques du site d’Alpine Property pour l’année.
Juin est le mois où le site est le moins fréquenté ; les nouvelles
demandes de renseignements suivent la même tendance. L’activité
reprend en juillet, puis le volume se maintient en automne. Nous
continuons à faire des visites pendant ces mois tranquilles, toutefois elles
ont souvent été organisées un ou plusieurs mois d’avance. Comme la
plupart des appartements, maisons ou chalets à vendre sont loués pendant la
saison, il est logique de les visiter en dehors des périodes de vacances, au moment où
elles ont le plus de chances d’être vacantes.
J’ai regardé rapidement si je pouvais dégager une tendance en ce qui concerne les dates d’achèvement. Je n’ai rien trouvé. D’une année à l’autre, nos pics d’achèvements semblent totalement aléatoires : aucun mois ne se démarque.
Rapport sur le marché
Passons mes réflexions sur les variations saisonnières. Qu’en est-il du marché réel ? De manière générale, ses conditions ressemblent beaucoup à celles de 2017. Probablement en mieux. En 2017, je faisais état d’une bonne stabilité, d’un nombre égal d’acheteurs et de vendeurs. L’hiver dernier a été très occupé chez nous. À vrai dire, c’était l’un des plus frénétiques que nous ayons connu en 20 ans d’activité ! Nous avons même eu une impression de surchauffe.
L’enneigement avait été bon. Un peu tardif, certes, mais abondant et ensoleillé ! Notre principale base de clientèle est française ; elle demeure dynamique. Nos clients anglophones ne veulent plus entendre parler du Brexit, par conséquent pour beaucoup d’entre eux, les affaires continuent. Nos acheteurs domiciliés en Suisse ont toujours bon moral et aiment notre région. En troisième position ex æquo, on trouve maintenant les clients belges ou néerlandais. Ils ont toujours été présents, mais ils sont plus nombreux cette année. Le rêve de posséder une résidence secondaire dans les montagnes perdure ! La surchauffe s’est calmée à partir de juin-juillet 2019 sous l’effet d’une baisse du taux de change €/£. Cela est très lié au Brexit.
Au fil des années, nous avons parlé de la langue dans laquelle nos clients s’expriment, et non de leur nationalité. Toutefois, nous pourrions aussi parler des grandes villes dans lesquelles ils résident. Londres et Paris arrivent en tête, bien entendu, suivies par Genève, mais il est aussi question de Bruxelles et d’Amsterdam maintenant. L’une des conséquences inattendues du Brexit est le délaissement de Londres au profit de ces dernières villes européennes. Il va sans dire que Genève est si bien connectée avec chacune d’elles ! C’est une autre raison pour laquelle notre région reste si prisée.
Effet du taux de change
Le graphique ci-après pourrait vous laisser penser que la « bulle » de cette année était liée au taux de change. Je ne crois pas que cela soit le cas. Premièrement, parce que notre clientèle basée au Royaume-Uni ne représente désormais que 40 % de notre marché. Deuxièmement, bien que ce graphique soit impressionnant, il ne l’est pas si l’on regarde la courbe sur plusieurs années. La deuxième image est révélatrice à cet égard : le taux de change a peu fluctué au cours des trois dernières années.
Taux de change €/£ sur 1 an
Taux de change €/£ sur 5 ans
Le grand changement qui a marqué l’année est l’arrivée de nombreux appartements neufs dans toutes les grandes régions de ski. Ces appartements, généralement bien situés, répondent à des spécifications très exigeantes et affichent des prix à la mesure de leur luxe. À tel point que nous leur avons créé une page spéciale sur notre site Web :
Vous trouverez sur cette page 18 nouveaux complexes résidentiels avec des appartements à vendre partout en Haute-Savoie. Ces nouveaux immeubles ont « poussé » grâce à la santé du marché, mais aussi à la suite d’un changement gouvernemental touchant aux zones constructibles. Afin d’augmenter la densité de population dans les villes et, à l’opposé, de préserver les ceintures vertes, les autorités locales se sont vu demander d’assouplir leurs règlements d’urbanisme. Ces appartements neufs en sont le résultat !
Avant toute chose, lorsqu’il est question de moyens de transport et d’écologie, il faut comprendre que tout déplacement a un coût environnemental. Certains modes de transport sont toutefois plus coûteux que d’autres.
La désinformation va bon train ces temps-ci dans les médias sociaux, certaines personnes essayant de faire croire que les voitures électriques ne sont pas vertes. Mais rappelez-vous à qui ces voitures font de l’ombre : les compagnies pétrolières et le lobby de l’automobile, tous deux extrêmement puissants et mauvais joueurs quand il en va de leurs intérêts. La raison pour laquelle les compagnies pétrolières haïssent les véhicules électriques est évidente. Elle l’est beaucoup moins dans le cas des constructeurs automobiles, par contre. Leur problème est qu’ils ne peuvent pas engranger des profits à court terme avec ces voitures. Ils changeront de disque en temps opportun, quand ils seront réoutillés pour ces dernières. La transition est amorcée, mais elle s’étalera sur plusieurs années. Tesla, Nissan-Renault et, dans une moindre mesure, BMW ont pris les devants. Ils ne sont suivis par pour ainsi dire personne. Et à eux trois, ils n’ont en réalité que trois modèles différents à vendre.
Il est vrai qu’un véhicule électrique (VE) neuf a un coût environnemental supérieur à un véhicule équipé d’un moteur à combustion interne. Cependant, dès que ces deux véhicules se mettent à rouler, la situation s’inverse : le coût environnemental du véhicule à énergie fossile rattrape rapidement celui du VE. En effet, les voitures qui brûlent du diesel ou de l’essence émettent continuellement du CO2 dans l’atmosphère, tandis que le coût environnemental initial élevé d’une voiture électrique est principalement lié à la fabrication de sa batterie.
Recyclage
Les panneaux solaires à base de capteurs photovoltaïques suivent la même logique : leur fabrication pèse lourd sur la planète, mais à la fin de leur cycle de vie, ils ont plus que remboursé leur dette environnementale. Ils sont censés durer 30 ans, au minimum. Que leur arrive-t-il ensuite ? Essentiellement composés de verre, comme de simples bouteilles de vin, ils peuvent être recyclés. Idem pour les batteries. Elles peuvent être soit reconverties, par exemple pour servir dans une maison, soit recyclées. J’aimerais beaucoup acheter de vieilles batteries de VE pour mon domicile, si je pouvais les obtenir à un bon prix !
Vous trouverez ci-dessous une superbe illustration qui explique (en anglais) le recyclage des panneaux photovoltaïques. Elle émane de l’entreprise GreenMatch.
Si tout le monde avait une voiture électrique, le réseau public ne répondrait pas à la demande : il faudrait construire 20 centrales nucléaires de plus.
Ça en est une autre que j’entends souvent ! Cette phrase est basée sur des calculs erronés, notamment l’hypothèse selon laquelle tout le monde utiliserait sa voiture électrique au maximum de la capacité de la batterie quotidiennement, puis brancherait son véhicule en même temps pour le recharger ! Si tel était le cas, il y aurait effectivement un problème. Toutefois :
Beaucoup d’eau coulera encore sous les ponts avant que tous les automobilistes aient un VE (actuellement, seulement 3 % des voitures neuves sont entièrement électriques).
Le trajet quotidien moyen est de l’ordre de 30 km par voiture : nous n’allons pas très loin chaque jour. Et nous ne rechargeons pas tous nos véhicules simultanément.
La manière dont nous utilisons l’électricité change rapidement. Le plus gros problème en vue est le stockage de l’énergie produite de jour par les panneaux photovoltaïques et les éoliennes. Les batteries des VE pourraient être la solution. La technologie n’en est qu’à ses balbutiements, mais une combinaison de VE utilisés pour stocker de l’énergie et la distribuer aux autres aux heures de pointe pourrait créer une vraie révolution.
Ce dernier argument est avancé par les grandes entreprises énergétiques, qui ont cependant l’habitude de tuer dans l’œuf les nouvelles technologies qui menacent leur suprématie. Comme en témoigne le batteur de Salter.
La Haute-Savoie est réputée pour ses lacs et ses montagnes, mais rarement pour ses possibilités golfiques. Pourtant, elle recèle un certain nombre d’excellents parcours. Nous les avons visités pour vous.
Chamonix : parcours intéressant et très jouable dans un écrin naturel à couper le souffle. Saison courte, l’établissement étant ouvert de la fin juin à la mi-septembre. Pas excessivement chic, comparé à certains autres clubs. Restaurant vraiment agréable avec un personnel cordial. De 56 € à 91 €.
Megève : huppé, sans aucun doute, mais parcours moins intéressant ; à cause de l’altitude (1 320 m), les greens sont fréquemment en mauvais état. De 40 € à 75 €.
À Annecy, il y a deux parcours autour du lac : Talloires : onéreux en haute saison, parcours court, mais vallonné, voire montagneux, méticuleusement entretenu, en particulier les greens, dont la petitesse est notoire. Giez : parcours plus long et plus jouable de style « parc » qui vaut le déplacement, avec son ambiance conviviale et un proshop raisonnable (une rareté !). De 59 € à 75 €.
Évian : ouvert de février à novembre, splendide parcours de championnat avec de fantastiques installations d’entraînement. Le meilleur moment pour y jouer est juste après le Ladies Masters en septembre. De 55 € à 105 €.
Ésery (près de Bonneville le long de l’A40) : parcours de style « parc » vraiment beau et plutôt difficile, vastes greens très rapides et superbes club house, boutique et restaurant. Essayez-le sans faute !
Divonne : (à la frontière suisse et plus tout à fait en Haute-Savoie, mais dans le Jura) : à 30 min au nord de Genève) : ouvert toute l’année, la rumeur voudrait que le parcours soit meilleur que celui d’Évian. De 50 € à 100 €.
Bossey (au pied du Salève, à côté du téléphérique) : parcours très difficile ouvert toute l’année grosso modo, Jean Van de Velde est un habitué ! Accessible aux non-membres la semaine seulement.
Aix-les-Bains (en Savoie, à 30 min d’Annecy) : vieux parcours (parc) avec un certain cachet ancien, toujours en bon état. Jouable toute l’année.
Les clubs suivants ne se comparent pas aux premiers, mais ils n’en ont pas la prétention et coûtent souvent moitié moins cher. En raison de leur altitude, ils offrent des saisons courtes (parfois de juin à septembre).
Les Gets : à 1 400 m d’altitude, mon préféré, avec du relief et son lot de complexité technique (emportez un goûter et beaucoup de balles !). Les avis sur TripAdvisor en disent long. 33 €.
Avoriaz : 1 700 m d’altitude, le seul neuf-trous de la liste. De 25 € à 30 € pour 9 trous, et de 40 € à 50 € pour faire deux fois le tour !
L’équipe du Grand Cerf a déniché pour vous les meilleures adresses gourmandes des Carroz. Du Pub décontracté au restaurant gastronomique ou design,
il y en a pour tous les goûts !
BISTRO
A l’heure de l’apéro, direction Le Grizzly, une chaleureuse brasserie aux allures de pub anglais située au centre des Carroz. Avec, en prime, un coin lounge cosy et une terrasse orientée plein sud ! A découvrir : un mur de whiskies et plein de bières pression de qualité venues d’un peu partout !
1, place de l’ambiance , 74300 Les Carroz d’Arâches, Tél. 04 50 90 02 77
SOUTH-FACING TERRACE
Une fois les skis déchaussés, on s’offre un verre au pied des pistes sur la terrasse plein sud du Milk Hotel. Le midi, le bio s’invite au déjeuner avec une cuisine de bistrot originale et généreuse.
459 Route des Servages, 74300 Les Carroz-d’Araches
RESTAURANT
L’Igloo est un authentique chalet savoyard planté à 1598 m d’altitude, à l’arrivée du télésiège Bergin (Morillon). Ouvert tous les jours, on y déguste en service continu des spécialités savoyardes, suggestions du jour et desserts maison confortablement attablé sur une terrasse fleurie et ensoleillée au milieu des alpages. Fondue, beignets de pommes de terre, péla… Cédric mitonne une cuisine de spécialités traditionnelles et de qualité !
433, Route de Flaine 74300 Les Carroz d’Arâches Tél. 04 50 90 14 31 & 06 87 81 17 05
GASTRONOMIC
Restaurant gastronomique réputé, Les Servages d’Armelle accueille ses convives dans un espace très cosy offrant un point de vue unique sur la montagne, que l’on s’installe à l’intérieur, sur la terrasse exposée plein sud ou dans la véranda qui la prolonge.
Chef talentueux et passionné, Pascal Flécheau y pratique avec maestria une cuisine actuelle, à la fois soignée et généreuse, inventive et raffinée.
Mention spéciale aux filets de Saint-Pierre et encornets cuits à la plancha sans oublier…
la fondue traditionnelle aux cèpes,déclinaison originale qui conjugue à merveille trois fleurons de la gastronomie savoyarde : fromage, vin et champignons.
Au Café de Balme, pas de carte mais une ardoise qui change tous les jours au gré des saisons et des arrivages ! Philosophie : promouvoir les produits frais issus du terroir local. Ici, tout est fait maison et les plats mijotent des heures sur d’antiques pianos de cuisine Aga et La Cornue…
Le temps, voilà le secret des saveurs d’antan et d’une cuisine familiale authentique !
309, route des grottes de Balme 74300 Magland Tél. 04 50 91 26 31
THE ESSENTIAL RECIPE: TARTIFLETTE
Ce plat à base de pommes de terre, lardons, oignons le tout recouvert de reblochon coulant est la star de l’hiver par excellence.
Où la déguster aux Carroz ? Vous trouverez une authentique tartiflette à L’Alpage de l’Airon, à 15mn à pied depuis le virage de l’Airon ou depuis le sommet de la télécabine.
Ingrédients pour 4 personnes :
1,2 kg de pommes de terre à chair ferme
200 g de lardons
1 oignon
1 reblochon fermier
2 cuillères à soupe de crème fraîche
1 bouteille d’Apremont
En théorie, nous sommes au printemps. En pratique, rien en l’indique, et davantage de neige est annoncé jusque dans les vallées de basse altitude pour le week-end ! J’ai entendu des gens se plaindre du nombre de jours d’ensoleillement que nous avons eus. Eh bien leurs plaintes sont fondées : nous sortons de l’hiver le plus sombre (au sens propre) depuis la Seconde Guerre mondiale !
Meteonews a concocté un bilan chiffré de cet hiver. En résumé, il a été extrême. Nous avons tout eu (sauf du soleil) : douceur exceptionnelle, froid intense et pluies diluviennes. De nombreux records ont été battus.
Température
Globalement, la température se situe dans la normale comparativement aux records établis. Sa valeur moyenne masque toutefois le fait que le mois de janvier a été l’un des plus chauds de l’histoire, et qu’un mois de février particulièrement glacial lui a succédé (une moyenne peut cacher efficacement la réalité !).
Précipitations
En décembre et en janvier, la quantité de pluie (et de neige) qui est tombée a été exceptionnelle : les records de ces deux mois n’ont été battus que 7 fois au cours de 70 dernières années. J’ai cherché des comparaisons historiques, mais je crois qu’il faudra attendre que celles‑ci soient publiées. Meteonews mentionne des records d’enneigement, le cumul dépassant 7 m en moins de 2 mois à certains endroits.
Avalanches
Le mauvais temps ayant restreint le nombre de jours propices au hors-piste, les accidents se sont concentrés pendant les quelques jours de ciel bleu que nous avons eus. Jusqu’à présent, 25 personnes sont mortes dans des avalanches en France, dont 3 portées disparues (et présumées mortes). Ce triste bilan se situe dans la moyenne des années antérieures. Un exemple de la synchronicité des accidents est le week-end des 3 et 4 mars 2018. Cet article de Piste Hors donne une vue d’ensemble, si vous lisez l’anglais. (Sinon, il y a aussi l’article du Monde et celui du site data-avalanches.). Enfin, le site anena fournit le détail de tous les accidents recensés chaque saison, ainsi que leur bilan.
Le col du Corbier relie les vallées de Morzine et de Châtel. Si vous planifiez un déplacement en voiture de l’une à l’autre, la route la plus rapide passe par ce col qui, contrairement à ce que croient de nombreux visiteurs, est ouvert tout l’hiver. Outre qu’il sert de raccourci entre deux vallées très fréquentées, il doit demeurer praticable toute l’année, car environ 750 appartements et chalets, pour une capacité d’hébergement totale de 4 000 lits, ont été construits sur le col proprement dit. Le col du Corbier abritait en effet une station de ski alpin, Drouzin-le-Mont, qui a connu des hauts et des bas.
La meilleure source pour connaître l’histoire de cette station aujourd’hui fermée est probablement la page Wikipédia du col du Corbier.
Montagne Douce
Depuis que le domaine skiable a cessé d’être exploité, la commune du Biot déploie de grands efforts pour venir en aide à la collectivité du col du Corbier et éviter son déclin. Elle a supervisé le démontage des remontées mécaniques, opération souvent négligée. Elle a également fait construire un imposant bar-restaurant, qui est devenu le cœur de la nouvelle station, dite de « montagne douce ». J’y suis allé à quelques reprises récemment, et je peux témoigner du succès de la formule ! Comme on pouvait s’y attendre, le prix des logements a chuté après la fermeture de la station de ski alpin, ce qui a eu pour conséquence d’attirer l’attention sur l’endroit. Malgré la dépréciation de l’immobilier, l’offre d’activités demeure étoffée, et les pistes de ski, pas si éloignées que cela :
# Saint-Jean-d’Aulps (Espace Roc d’Enfer) : 18 min
# La Chapelle d’Abondance : 22 min
# Morzine : 26 min
# Châtel : 30 min
# Avoriaz (Ardent) : 30 min
Les vacanciers du col du Corbier peuvent même se passer de voiture : un autobus fait l’aller et retour jusqu’au Roc d’Enfer quatre fois par jour.
Mes lectures sur les diverses activités promues au col m’ont donné envie d’y faire un tour. Je m’y suis rendu par une journée grise et glaciale, pourtant j’ai été impressionné. J’ai vu beaucoup de gens qui s’amusaient, et ce, gratuitement. Une véritable aubaine pendant les vacances !
Palette d’activités
# Fat bike électrique guidé, vélos fournis.
# Randonnée en raquettes, guidée par le célèbre guide local Michel Robin.
# Ski-joering et balades en poney organisés par Samuel et Catherine Bailly du ranch de Saint-Jean-d’Aulps.
# ET… tir à l’arc et sarbacane sur cible ! Descentes en luge et un peu de nourriture.
La commune continue d’entretenir l’une des pistes. Cette piste est balisée et déblayée après chaque chute de neige. Sa pente étant relativement douce, elle convient pour une sortie de fatbike ou de ski de randonnée tous niveaux, qui donnera accès aux anciennes pistes. Excellente pour une initiation au sport ! Vous trouverez ci-dessous une carte de son tracé. Appelez la mairie au 04-50-72-12-06 si vous voulez vérifier qu’elle est ouverte.
Les autorités municipales parlent de développement d’activités estivales et de création d’un « espace loisirs » près du lac local ; suivez cela de près !
Pour conclure, notre bien immobilier vers lequel tous les regards sont tournés est le chalet Snowy (4 pièces, 237 000 €). Cliquez sur l’image pour en savoir plus.